LÉtudiante Timide Et Rusée.
Je suis professeur de français à luniversité. A lépoque, javais 35 ans, jétais divorcé et vivait seul depuis un an environ. Javais proposé à certains de mes étudiants, de venir faire un travail de groupe chez moi, un soir de semaine vers 19h00. Javais préparé de quoi manger et boire sur la table du salon et disposer quelques chaises près du canapé qui ne suffirait pas pour tout le monde.
A 19h00 pile, jentendis frapper à la porte, jallais ouvrir. Cétait Rebecca, la meilleur élève de mon cours. Elle portait un jean, un petit pull et cétait attaché les cheveux en chignon, comme à son habitude. Elle me dit « bonsoir » en souriant et me regardant avec ses beaux yeux noisette à travers ces petites lunettes.
- Bonsoir Rebecca, entre je ten prie, les autres ne sont pas avec toi ?
- Je les ai pas vu, ils vont arriver je pense.
- Bien sûr, assieds-toi.
Elle avait un sac qui lui servait de sac à main et de sac pour ses cours apparemment et aussi un petit sac de sport. Curieux je linterrogeais.
- Tu pars en voyage, dis-je en plaisantant.
- Euh, non je reviens dun cours de fitness en fait, dit-elle toute timide assise sur une chaise en face de moi qui était sur le canapé.
- Ah je vois tu tentretiens cest bien, il faut commencer à ton âge (elle avait 22 ans) tu vivras plus vieille.
Je lui décrochai un petit sourire. Le temps passait et toujours aucun autres élèves. Rebecca semblait nerveuse et comme elle était un peu timide, javais du mal à meubler la conversation.
- Cest bizarre que personne ne soit arrivé encore, il est déjà 19h15.
- En
en fait cest normal Monsieur.
- Normal, comment ça ?
- Je leur ai dit que vous aviez annulé.
- Mais enfin pourquoi Rebecca, javais tout préparé regarde lui dis-je dun ton calme et interrogatif.
- En fait, je voulais être seule avec vous.
- Tu voulais me parler en tête à tête ? Pourquoi nas-tu pas pris rendez-vous à luniversité ?
- Parce que
elle sarrêta pris son petit sac de sport en main, la salle de bain sil vous plait ?
- Dans le couloir là, la porte de gauche.
Et elle senfuit, sans donner dautres explications.
Dix minutes passent, je minquiète.
- Ça va là-dedans.
- Oui monsieur, ça va, jarrive crie-t-elle à travers la porte.
Encore dix minutes après, jentends la porte de la salle de bain souvrir, moi toujours sur le canapé attendant. Et quelle ne fut pas ma surprise en-là voyant.
- Oh mon Dieu Rebecca, mais quest-ce que tu fais.
- Ça vous plait jespère, cest spécialement pour vous, sur un ton timide.
Elle était plantée là, devant moi, elle sétait changée et quelle changement. Elle avait détaché ses longs cheveux brun, elle en avait fait deux couettes nouées par des rubans en tissu écossais rouge, elle avait ôté ses lunettes et sétait maquillée, du noir pour ses yeux et un magnifique rouge pour ses lèvres, ses joues étaient rouges aussi soit de timidité soit de maquillage je ne savais pas. Elle portait une mini cravate autour du cou dans le même tissu que le ruban, ainsi quune mini-jupe décolière toujours en tissu écossais rouge. Elle portait également un haut blanc à manche courte qui descendait pas plus bas que ses seins, magnifiquement enfermé dans ce haut par un nud qui tenait ce petit bout de tissu. Ces jambes étaient gainées de bas blanc, laissant apparaitre sa peau entre le haut des bas et sa jupe si courte. Enfin elle portait des hauts talons rouges.
Jétais paralysé, impressionné, envouté, excité, apeuré, subjugué et jen passe. Je ne savais pas quoi dire, je restais là à la regarder. Elle vint se rasseoir sur la chaise en face de moi, sa mini-jupe étant si courte je vis quelle ne portait pas de culotte, cétait une petite chatte toute lisse, rasé. Elle se rendit compte que javais vu que son sexe était nu et surement par réflexe de timidité elle croisa les jambes, rougissant de plus belle.
- Ça ne vous plait pas ? Vous ne dites rien. La main tirant sur la jupe essayant dans cacher un maximum car elle pensait que ça ne me plaisait pas.
- Ecoutes euh
comment dire
en fait je suis très surpris, très flatter et un peu sous le choc. Mais oui ça me plait. Ça peut que me plaire tu es très jolie et sexy comme ça. Raclant ma gorge.
A nouveau un sourire sinstalla sur son visage. Elle était assisse attendant je ne sais quoi de ma part (ou plutôt si je me doutais quand même), moi en face delle intrigué, un moment de silence qui me parut très long sinstalla.
- Je crois voir ou tu veux en venir Rebecca, mais je suis ton professeur et tu es plus jeune que moi.
- Je sais mais vous me plaisez beaucoup, je sais que vous êtes divorcé et il a fallu un peu de temps avant que jose
enfin vous voyez.
- Daccord tu mavoue tes sentiments pour moi, mais pourquoi cette tenue ?
- Je pense que si jétais restée en jean et en pull, vous auriez pu vous défilez plus facilement, être moins intéressé, voir me rejeter. Alors que là je prends un ascendant psychologique, en me montrant très sexy et désirable, en vous donnant envie de moi.
- Javais oublié que tu étais très intelligente, mais qui te dit que je vais succomber, je ne peux pas, ce nest pas correct ce que tu me propose.
Elle se leva et vint sasseoir sur moi, ses fesses sur mes cuisses, prisonnier entre ses jambes. Je sentais son petit cul nu sur moi, sa chatte frottant légèrement mon sexe à travers mon pantalon. Cela faisait un an que je navais pas eu de rapport avec une femme et il ne fallut pas longtemps à mon sexe pour se dresser légèrement à létroit dans mon caleçon.
- Maintenant que je suis assise là vous navez plus le choix.
Je lavais le choix, je pouvais me lever et lui demander de partir. Mais non, son corps, son parfum, sa fraicheur, tout mordonner de rester là. Et qui naurait pas succombé ? Excité je pris ses joues entre mes mains et lembrassa passionnément, nos langues se mêlèrent, nos lèvres se mangeait lun lautre. Je glissai mes mains sur ses hanches ou sa peau était nue, chaude et si douce.
- Doucement Monsieur je suis encore vierge.
- Cest vrai ? Tu veux moffrir ta virginité tu es sur ?
- Oui Monsieur, mais doucement daccord ?
- Bien sûr Rebecca, ma douce et tendre Rebecca.
Je lembrassais de nouveau, mes caresses était plus poser plus calme, je sentais son humidité traversé le tissu de mon pantalon sur mes cuisses et ses ronronnement de chatte et ses petites gémissement me confirmais létat de son excitation. Je me levai tout en la portant, continuant à lembrasser, je me dirigeais vers ma chambre, entra et lallongeai sur le lit.
Je retirai le nud de son haut blanc, pour apercevoir deux magnifique seins, bien ronds et fermes, des tétons dressés et dur. Au-dessus delle, je commençai à les lécher en malaxant adroitement ses seins avec fermeté. Elle se cambrait légèrement et gémissait, puis je descendis ma langue sur son ventre, passant sur son nombril, je relevai sa jupe et continua ma descente jusquà son bouton à qui je donnai deux petits coup de langue. Jentrepris de le sortir de sa cachette avec deux doigts et le titillait du bout de ma langue puis le suçait en alternance. Elle se cambra dun coup saccrochant au drap.
- Ooooh Monsieur oui ne vous arrêtez pas, cest trop bon.
Elle essayait de resserrer ses cuisses pour contenir son plaisir, mais ma tête len empêchait. Je descendis ma langue, suçant ses lèvres, léchant lentrée du fruit défendu si mouillé et chaud de désir. Je la mangeais, que dit je la dévorais, elle était au bord de lextase, alors je pris son clito dans ma bouche laspira fort, le suça jusquà ce que son cri de jouissance envahit la pièce et que son jus me coule dans la bouche.
- Cétait si violent et si bon Monsieur, jen tremble.
- Tu as déjà touché une bite ? Dis-je en sortant ma queue si raide de sa prison en tissu.
- Une fois jai sucé un ami, mais il a jouis très vite et je nai jamais été plus loin avec un homme.
- Prend là, fais-moi jouir avec tes mains, ta bouche et après je prendrais ta virginité ma petite chatte.
- Oui Monsieur avec plaisir.
Je sais ce que vous vous dites, pourquoi la laisser continuer à me vouvoyer et à mappeler « Monsieur ». Eh bien tout simplement parce que ça mexcitait beaucoup. Elle sassit au bord du lit moi debout devant elle. Sa main serra ma queue et commença un va et vient lent mais très excitant.
- Vous avez une belle bite Monsieur, jai hâte dy gouté.
- Elle est pour toi, ne te gêne pas vas-y.
A ces mots elle posa ses lèvres sur mon gland et les descendit lentement, très lentement tout le long de mon membre cétait divin. Elle commença à me sucer plus passionnément et avec plus de gourmandise tout en se servant de sa main pour continuer à me branler. Je la pris par la tête et la guidait, plus ou moins profondément dans sa gorge, plus ou moins rapidement aussi. Mes râles de plaisir lincitait à me sucer, à maspirer plus fort. Et il ne fallut pas très longtemps pour que la jouissance monte. Je la pris par ses deux couettes posa ma queue sur sa bouche et son nez, et faisant glisser son petit nez et ses lèvres sur mon membre en jouant avec ses couettes, je me fis jouir sur son visage dans un cri fort mais contenu.
Jentrepris de récolter mon jus sur son visage avec un doigt et je luis fit manger ma semence. Elle souriait et suçait mon doigt pour nen perdre aucune goute.
Je lallongeai sur lit, relevant de nouveau sa jupe, me mis sur elle lembrassa, descendit sur ses seins les dévorant à nouveau pour me faire bander. A demi dur, je me redressais et frottait mon gland sur son bouton, ça lexcitait beaucoup et la préparait pour sa défloraison. De nouveau bien raide, je me présentais à lentrée, poussant légèrement pour que le gland passe la porte. Il fallut que je pousse un peu plus fort tellement elle était serrée. Elle gémit quand il entra. Je le ressortis, lentra à nouveau et joua ainsi un moment pour que sa petite chatte souvre. Elle, étendue, magnifique, poussait de petits cris de plaisirs à chaque entrée du gland. Je mallongeais sur elle, il était temps, les yeux dans les yeux, le membre raide devant sa grotte inexplorée.
- Tu es prête ?
- Oui monsieur, allez y jen ai tellement envie.
Je la regarde, ses sourcils légèrement froncés mindiquent quelle est inquiète, mais il est trop tard pour reculer. Dun fort coup de rein jentre en elle de toute ma longueur jusquau fond, sentant son hymen se rompre au passage et son cri me percer le tympan. Puis je reste la immobile, la regarde, lui laisse le temps de souffler.
- Cétait très douloureux ?
- Jai eu fort mal sur le moment oui.
Je lembrasse doucement comme pour lui faire passer sa douleur et pendant que nos langues se mêlent je commence à aller et venir doucement dans son con humide, de désir et de sang. La douleur est vite remplacer par le plaisir. Je me redresse, accélère mon va et vient, elle gémit, me supplie de ne pas marrêter. Elle se cambre, sa chatte serre ma queue si fort quand le plaisir la transperce. Je marrête lembrasse. Je lui demande de se retourner, à quatre pattes sur le lit, son magnifique petit cul en guise de point de vue, je la prends en levrette avec force et passion. Je suis si raide en elle, je glisse dans sa mouille abondante, le souffle court mes râles de plaisir plus intense à chaque coup de rein. Elle me cri de la prendre encore et encore, puis elle jouit à nouveau et nen pouvant plus jextrais ma queue au bord de lexplosion de sa petite chatte nouvellement dépucelée, pour me répandre en long jets chauds sur son petit cul et son dos.
Apaiser, libérer nous nous écroulâmes sur le lit. Heureuse, elle me regarde.
- Merci Monsieur, jen avais tellement envie avec vous.
Avons-nous recommencé, oui bien sûr, mais nous avons fait mieux. Elle est devenue ma femme. Et javoue que parfois je lui demande de ressortir ça tenue décolière.
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